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SOMMES NOUS VICTIMES OU RESPONSABLES DE NOS VIES ?

Dernière mise à jour : 29 nov. 2022


Dans la continuité de l'article précédent où je vous présentais une possibilité de définition de l'adaptation et du changement « CHANGER OU S’ADAPTER – LIBERTÉ OU SÉCURITÉ ? » (*), je souhaite aujourd'hui vous montrer concrètement en quoi le changement est compliqué pour l'être humain.


Notre cerveau fonctionne de telle manière qu'il va tout faire pour leurrer la perception de la réalité, ainsi nous continuons à fonctionner toujours de la même façon car le cerveau perçoit le changement comme un danger (voir les YA+K (**)).


Et il est tellement malin qu'il sait très bien nous faire croire que nous avons changé alors qu'il n'en est rien.

Pour qu'un changement de fond se produise, l'être humain a besoin soit de prendre conscience que c'est son intérêt de changer quelque chose dans sa vie soit qu'il se retrouve au pied du mur voire qu'il se le prenne en pleine figure :

· Prise de conscience de répéter toujours les mêmes erreurs, de penser, de dire et d'entendre toujours les mêmes choses, etc. et d'obtenir toujours les mêmes résultats.

· Burnout, dépression, divorce, décès d'un proche, maladie, etc.

Lorsqu’un individu se retrouve dans un de ces cas de figure, il a le choix soit de continuer comme avant (victime, il subit les situations, les autres, la vie), soit il va changer de comportement parce qu'il aura changé sa perception, il regardera le monde autrement (responsable de sa vie).

En coaching il existe un adage que je répète souvent à mes clients « vous êtes le 1er (la 1ère) responsable de ce qui vous arrive, n’accusez ni les autres ni les situations et assumez les conséquences. »

Cette affirmation fait souvent grincer des dents la première fois qu'elle est entendue pourtant elle prend sens lorsque l'être humain commence à changer son regard sur le monde, il découvre alors son pouvoir de changement individuel et son impact sur les autres et le monde.

Pour aller plus loin :

· Le premier, je l'ai rédigé en octobre 2019, il met en évidence le besoin de l'être humain d'arriver au point de rupture pour résoudre les problèmes. J’utilise 2 exemples : les difficultés au changement du peuple irakien face à Daesh et une situation assez comique que j'ai pu constater en bas de chez moi.


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